Le label « Flamme verte »
En 2010, les adhérents du label ont décidé d’apposer sur leurs équipements une étiquette énergétique qui précise la classe de performance environnementale. À l’origine, cette étiquette classait les équipements en trois catégories, à la manière des étoiles pour les hôtels. Plus la performance globale de l’équipement est élevée, plus l’étiquette comporte d’étoiles. Leur nombre est établi sur la base de trois critères :
· Le rendement énergétique ;
· Les émissions de monoxyde de carbone (CO) émis dans
l’atmosphère ;
· Les émissions de particules fines.
Depuis le 1er janvier 2012, seuls les appareils indépendants et chaudières domestiques qui justifiaient d’un niveau de performance atteignant le niveau 4 ou 5 étoiles pouvaient se prémunir d’être placés sous l’égide du label Flamme Verte.
... Aujourd'hui Les appareils aux performances 4* ne font plus partie des appareils labellisés Flamme Verte depuis le 1er janvier 2015, et les appareils de niveau 5* ne sont également plus labélisés depuis le 1er janvier 2018. Aujourd'hui seuls les appareils de classes, 6 et 7* sont estimés comme étant les plus performants au sein du marché français de chauffage au bois domestique.
A noter que le Crédit d’impôt transition énergétique (CITE) est disponible pour la totalité des produits labellisés. La suppression des classes 4 et 5* et l’ajout de nouvelles classes répondent à une logique d’amélioration continue des performances énergétiques et environnementales
(Sourceflammeverte.org).